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il y a 10 ans
Par Jean Polux
La dernière séance avait beaucoup plu à ma Maîtresse. Elle m’avait confié, blottit contre moi dans le lit, employant sa petite voix douce tandis qu’elle me caressait le torse, qu’elle avait beaucoup aimé me faire jouer dans le jardin avec l’os en plastique. Il paraît que j’étais très excitant à quatre pattes courant après mon jouet pour lui ramener ensuite entre mes dents. Elle m’avoua que son orgasme avait été plus puissant que tous ceux obtenu jusqu’alors avec la masturbation. - Grâce à toi mon chéri me disait-elle tout bas. Tu es tellement beau en petit chien ! Sophie déplia ses bras et glissa son corps bouillant sur la mien. Puis elle commença à déposer sur mon visage de milliers de petits baisers. Son bas ventre se frottait délicatement sur mon sexe qui ne tarda pas à répondre à cette provocation. - Oui tu étais tellement beau, me soufflait-elle entre deux bisous. Il faudra qu’on recommence mon chéri, mais en mieux… Oui, en beaucoup mieux… Elle me regardait droit dans les yeux tandis que son ventre se frottait davantage. - Tu aimes bien être le bon toutou à sa maîtresse ? me souffla-t-elle de sa petite voix envoûtante. Je n’osai pas répondre. Je cherchais à comprendre le sens du mieux. Comment peut-on faire mieux pour un homme que de jouer avec un os en plastique, de courir à quatre pattes et de le ramener ensuite. - Alors ? insistait-elle tandis qu’elle jouait avec mon sexe, s’amusant à le frotter contre ses petites lèvres brûlantes et trempées d’impatience. Je n’en pouvais plus. Ses yeux étaient plantés dans les miens portées par un large sourire, tandis que ma queue restait désespérément à l’entrée de son sexe. Comment résister davantage ?
-
Oui j’aime bien.
-
Tu aimes bien quoi mon chéri ? Dis à ta petite maîtresse ?
-
J’aime bien être un bon toutou, le gentil chien à sa maîtresse ! !
-
Oui, j’ai bien vu que tu aimais ça. Et jouer ? Tu aimes jouer avec ton os ?
-
Oui aussi.
-
Dommage que c’était un faux…. non ?
Sur ces mots, elle se laissa tomber de tout son poids sur mon sexe. Elle s’empala complètement et commença à me faire l’amour lentement, puis accéléra à sa guise, contrôlant son plaisir. Je me laissa emporter par la chaleur de son ventre, et j’étais loin d’imaginer les futurs jeux qui germaient dans sa tête. C’est en milieu de semaine suivante que tout se mit en place. Je reçu un E-mail le mercredi après-midi. Elle me disait qu’elle avait eu une idée sublime. Puisque j’aimais bien être son petit toutou, et qu’elle y prenait beaucoup de plaisir, elle me proposa simplement d’augmenter le temps de jeu. Elle me demanda si j’étais prêt à être son petit chien une journée entière. Bien sûr avec tout ce que cela comporte. Si j’étais d’accord, je devrai lui faire savoir par retour de mail. Mais il n’était pas question d’en parler autrement, surtout pas le soir à table. Cela risquerait de casser le jeu. Je m’empressais alors de lui renvoyer un mail avec quelques question, disons d’ordre pratique. La réponse fut immédiate. Quelques minutes plus tard un mail arriva, et pour toute réponse, il y avait marqué, « tu verras bien, et je ne répondrai qu’à ta première question idiote ; A-t-on déjà vu un chien manger à table avec des couverts ? » Le message était clair. Il était vrai que ma question était stupide. J’avais déjà bu dans une gamelle, il me restait plus qu’à essayer le repas.
C’est la vision qui m’apparut aussitôt. Manger à quatre pattes dans une gamelle. Et bizarrement, je sentis une chaleur envahir mon sexe. Au lieu de m’effrayer, cette image avait tendance à m’exciter. Je commença donc à chercher tout ce qu’un chien pouvait faire dans une maison. Mais de toute façon je ne trouvais rien de pire que de jouer avec un os en plastique dans le jardin, et de faire le beau pour le donner à ma maîtresse. Quand on en est là, on peut bien continuer, car de toutes façons, ma maîtresse avait raison, il ne s’agissait en fait que d’allonger le temps de jeu. En conclusion, je renvoyais un mail donnant mon accord. Le jeudi je reçu un nouveau mail me donnant les dernières consignes ; « Le jeu commencera samedi à 14 h et finira le dimanche vers 18 h. Samedi après manger, je partirai faire quelques courses quittant mon mari, et à mon retour je veux trouver mon petit chien. Je te précise que bien sûr, tu devras rester nu avec ton collier, et qu’il ne faut surtout pas que tu oublie qu’on n’a jamais vu un chien parler, ni marcher sur deux pattes, ni boire dans un verre, ni répondre au téléphone. Pour terminer, j’ai réfléchis à plusieurs chose. D’abord il te faut un petit nom. Et plus j’y pense, plus je me dis que c’est vraiment ridicule que je te féminise.
Tu es un homme mon chéri. Alors je ne vois pas pourquoi tu n’assumerai pas ton rôle de gentil mâle obéissant à sa femme. Donc pas conséquent, j’ai pensé à un nom masculin pour toi. Tu te rappelle bien sûr de la belle et le clochard, et bien comme je suis la belle, je te vois très bien en Clochard. Ca t’ira très bien. A samedi. » Ce qu’il y a d’assez merveilleux dans l’attente, c’est l’imagination débordante que s’agite en vous. Pendant les deux jours précédents le début du jeu, je n’arrêtais pas de penser à Youpi, le chien que avait accompagné mon adolescence. J’essayai alors de repenser à tous ses comportements. Dans la rue, dès que je voyais une femme promener son chien, je ne pouvais éviter de m’imaginer à la place de l’animal. J’essayai d’entendre ma maîtresse appelé Clochard dans la maison. Et presque aussitôt, mon bas ventre s’échauffait. Comme à chaque fois les sentiments se mélangeaient, celui du ridicule remplacé par l’excitation, l’envie de fuir puis soudain d’obéir, l’espoir que ce jeu n’aura pas lieu puis le désir qu’il commence tout de suite. Puis le jour J arriva. Nous avons déjeuner comme si de rien n’était, parlant du prochain week end où nous devions partir chez des amis. Puis après son café elle se leva puis partit s’habiller.
-Je file, je vais être en retard. J’ai rdv chez le coiffeur. A dimanche soir mon chéri, et passe un bon week end !
Elle claqua la porte. Effectivement, le jeu était commencé. L’homme ne reviendrait que dimanche soir, et il fallait maintenant que le chien se prépare. Après avoir remis la cuisine en ordre, je suis allé me déshabiller, rangeant mes affaires qui n’auraient plus aucune utilités avant dimanche soir. J’ai ensuite mis mon collier, puis je ne sais pas pourquoi, d’instinct sans doute, je me suis mis à quatre pattes dans la chambre. Même si ma maîtresse n’était pas là, j’étais déjà dans mon rôle. Je suis allé au salon, puis me suis assis devant le canapé. Heureusement ma maîtresse n’a pas trop tardé. J’ai entendu les clés dans la serrure et j’ai accouru. J’ai essayé de lui faire la fête du mieux que je pouvais. Car j’étais tout de même bien content qu’elle arrive. J’avais attendu presque une demi heure, nu et assis par terre.
J’ai compris à cet instant là le bonheur du chien quand enfin il voit ses maîtres revenir. J’ai posé mes deux pattes sur ses hanches tandis qu’elle me caressait la tête. - Bonjour le chien… Oui tu es beau Clochard ! me fit-elle avec son grand sourire Je tourna alors ma tête pour lécher sa main. Elle me la laissa quelques instants, alors j’en profitais pour mettre des grands coups de langues dans le creux de sa main. Elle semblait contente. J’avais bien commencé. - Allez suffit, c’est bon Clochard, sois sage maintenant ! Je suivis ma maîtresse dans la cuisine, puis dans la chambre. Je m’assis à la porte. Elle se changea, puis attrapa ensuite une couverture dans l’armoire. De retour dans le salon, elle la plia en quatre puis la posa devant la fenêtre. Elle s’agenouilla puis de la paume de la main frappa légèrement sur la couverture.
- Clochard viens ici, à ta place.
Je rentrai sur ce mètre carré qui m’étais attribué, puis dirigea directement mon museau vers sa main. Elle me caressa de nouveau la tête et comme dans l’entrée je cherchais à lécher. Puis comme sa main se déplaça pour aller me caresser la croupe, j’eus alors l’idée géniale de me mettre sur le dos, comme le font tant de chien pour se faire caresser le ventre. Mais si j’avais bien pensé à garder les jambes repliées et ouvertes, je n’ai pas pensé aux mains que je mis le long du corps. Mais ma maîtresse eut vite fait de corriger cette erreur. - Tes pattes Clochard ! Je compris très vite qu’un chien à toujours ses pattes sur son ventre. Je replia alors mes poignets que je collai à ma poitrine. Maîtresse me caressa alors le ventre et les flancs pendant quelques minutes. -
Allez c’est bon. Sois sage maintenant.
Je passais l’heure suivante couché sur mon tapis roulé en boule.Enfin comme je pouvais. Je regardais ma maîtresse vaquer à ses occupations. Elle téléphona, puis fit un peu de lecture. Comme j’en avais marre de ne rien faire je me risquais à aller la trouver. Je m’approcha du canapé, puis tendrement je lui lécha les pieds. Elle ne disait rien, alors je continuais. Il faut dire que j’avais l’habitude et que cela ne me déplaisait pas du tout. Puis, je me hasardais à lécher ses genoux. - Suffit Clochard ! Les pieds si tu veux mais pas plus haut. Alors pour ne pas retourner sur ses pieds, je me risquais à poser une patte sur son genoux. Elle posa alors son magazine. - Qu’est-ce que tu veux mon chien ? Hein, t’as pas envie de faire dodo ? Elle me regardait dans les yeux, attendant ma réponse. Elle voulait que je m’exprime. Mais en pensant à l’aboiement, j’ai du devenir tout rouge. - Tu veux aller promener ? C’est ça ? Je la regardais. J’avais soudain un blocage pour l’aboiement. Mais visiblement, elle semblait attendre. Alors je risquais un timide ouaf, ouaf. Cela n’était pas très convainquant, mais elle s’en contenta, heureuse de mes efforts. Elle se leva, alla chercher ma laisse, puis me fit faire le tour de la maison. - Ce soir on ira dans le jardin… Mais là, il fait encore jour… Nous avons fait plusieurs fois le tour de la maison, puis une fois de retour au salon, j’eus le droit pendant au moins une bonne demi-heure à la séance des assis, couché, debout, faire le beau, donner la patte. Comme j’avais tendance à me lasser un peu de répéter toujours les mêmes choses, elle se saisit de sa cravache pour me motiver un peu. Et quelle motivation. Une fois avoir cinglé ma croupe histoire de me rappeler à l’ordre, je me remettais alors sans faiblir à exécuter chaque mouvement.
On repartait, puis elle d’un coup, elle me faisais couché, avant de repartir la cravache entre les dents. La fin de cet exercice s’est terminé dans la cuisine. Ma maîtresse m’a donné ma gamelle d’eau. Bien sûr j’ai du la mériter en faisant le beau et en donnant la patte. J’avais déjà lapé dans un passé proche, et même si cela restait difficile, j’avais bien besoin de me désaltérer après cette promenade pleine d’exercice. J’aurais mieux fait de me tenir tranquille. Je me recoucha sur mon tapis sans demander mon reste, fatigué, les genoux endoloris, les fesses encore chaudes et rouges. Mais à peine je fus installé que la voix de ma maîtresse se fit entendre. - Clochard, viens aux pieds ! Ne voulant plus trop risqué la cravache pour aujourd’hui, je repartis dans la cuisine. Ma maîtresse était assise, m’attendait avec un sourire. Je me plaçais devant elle, commençait à lécher ses genoux. Je sentis petite une tape sur la tête. -
Pas les genoux j’ai dit ! ! Assis, de donne la patte !
Je me suis alors assis sur mes talons, gardant ma patte droite par terre tandis que je levais la gauche.
-
C’est bien mon Clochard ! Tiens j’ai un joli joujou pour toi. Elle me présenta alors une souris en plastique. Puis, devant mon regard stupéfait, elle appuya sur le jouet. - Regarde, il couine quand on appuie dessus ! ! Je l’attrapa avec ma gueule, puis me força à secouer la tête en le faisant couiner au maximum. Comme la dernière fois dans le jardin, je trouvais cela relativement humiliant. Beaucoup plus que de marcher à quatre pattes. Je ne sais pas vraiment pourquoi. Toujours est-il que pour satisfaire ma maîtresse et pour éviter de prolonger trop ce petit jeu, j’eus ma minute de folie. Puis, je partis sur mon tapis, mâchant allègrement mon jouet pour qu’il fasse le plus de bruit possible. Elle me laissa tranquille une bonne heure, puis je la vis aller vers le canapé, une verre de porto à la main. Elle mis la télé, buvant tranquillement, en mangeant des biscuits apéritifs. Je ne pu m’empêcher de m’approcher. - Tu veux un gâteaux ? Je lâchais un timide aboiement.Dans le creux de sa main, elle me donna un biscuit que je m’empressais de manger.
-
C’est tout, me dit-elle, j’aime pas les chiens qui quémandent. Après tu mangera pas ta gamelle ! Je regarde les infos, et on ira manger. Allez couche toi aux pieds. Sois sage !
Je m’allongeai, posant ma tête sur ses pieds. Puis, comme je m’ennuyais un peu, je me mis à lécher ses doigts de pieds tout en écoutant les infos. Quand le journal fut terminé, ma maîtresse se leva pour gagner la cuisine. Je la suivis. Alors que je m’attendais à prendre mon premier repas dans ma gamelle, elle mit la table puis se prépara une pizza. Je restais à ses pieds. Elle se servit un verre de vin puis commença à manger. De temps en temps elle me donnait un bout de pizza dans le creux de sa main. Je ne me faisais pas prier. Puis, avant d’entamer son dessert, elle prépara enfin mon repas. Une bonne boite de ravioli. Elle posa ensuite ma gamelle dans un coin de la cuisine, sur un set de table représentant la belle et le clochard. Je posa mes coudes au sol, puis commença à manger. C’était beaucoup plus facile que de laper l’eau. Une fois terminé, je pris grand soin de bien tout lécher pour qu’il ne reste aucune trace de sauce tomate. Je bus ensuite un peu d’eau, puis parti sur mon tapis. En passant devant elle, ma maîtresse m’arrêta puis me nettoya le museau avec sa serviette. Elle termina de ranger la cuisine, puis ensuite se mit devant la télé. Elle regarda un film qu’elle avait loué. Moi, je restais sur mon tapis, écoutant les dialogues du film. Cela m’aidait à passer la temps. Vers onze heures et demi, elle éteignit la télé, puis disparut quelques instants dans la chambre. Quand elle revint, elle agita alors ma laisse. - Clochard, viens vite, on va promené ! Je me levais puis me dirigea directement vers la porte.
De toute façon, je n’avais guère le choix, à part refuser et déclencher la colère de ma maîtresse. Elle arriva bientôt, me fixa la laisse, puis ouvrit la porte. Comme j’en avais l’habitude, le plus dur était la première partie, ouvert à des regards potentiels. Une fois derrière j’étais plus tranquille. J’éprouva un certain plaisir quand on gagna le gazon. Mes genoux était douloureux, et se retrouver sur l’herbe tendre devenait un peu plus confortable. Comme à son habitude ma maîtresse se posa dans le transat, fumait sa cigarette, puis jouait avec moi. Elle lançait ma souris pour que j’aille la chercher, et si elle resta plus discrète que la dernière fois, je pu tout de même m’apercevoir qu’elle avait passé sa main sous sa jupe et qu’elle se caressait. Qu’est-ce qu’elle était belle ma maîtresse ! Depuis que j’étais à quatre pattes, je n’avais même pas pris le temps de l’admirer. Après un énième retour, je restais planté à faire la beau, la souris dans la gueule, à observer ma maîtresse prendre son plaisir. Elle portait une petite jupe flottante arrivant à mi cuisse. Un petit chemisier blanc était légèrement ouvert, laissant apparaître la naissance de ses seins, qu’une main caressait avec délicatesse. Mon érection prit alors un peu plus de volume. Mais je n’eus guère le temps d’apprécier le spectacle. Elle tendit sa main pour que j’y dépose ma souris.
Et elle l’envoya de nouveau assez loin pour que je reparte la chercher. Je ne pu voir sa jouissance, à mon grand regret. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés dans le jardin. L’avantage d’être Clochard, c’est que je pu échapper à pénétration anale. On ne sodomise pas son chien. Mais, bon, on ne lui donne pas non plus de plaisir. Alors je suis rentré frustré, la queue gonflée à bloc. Une fois dans la maison, ma maîtresse me laissa aller boire dans ma gamelle. Puis je la vis attraper ma couverture. Je la suivis dans la chambre. Elle la déposa aux pieds du lit. Je n’avais pas pensé à ça. Il y a tellement de femme qui font coucher leurs chiens dans leurs lit. Mais visiblement, ce n’était pas l’intention de ma maîtresse. Instinctivement, je me posais sur ma couverture. Mon regard devait être celui d’un chien triste. Je devais être beau à voir, le regard perdu, un sexe plus dur que du béton. Et bien sûr, un chien ne se masturbe pas. Et une femme ne s’abaisse pas ainsi à branler son chien. Peut-être certaine femme, mais pas maîtresse. Je ne pouvais en douter. Quand elle sortit de la salle de bains, elle était nue, et portait dans sa main un gode. Ce qui ne risquait pas de calmer mes ardeurs. Elle me caressa la tête.
- Allez sois sage mon Clochard. Faut dormir maintenant. Si tu fais trop de bruit, je te soigne à la cravache, et tu vas dormir dans le garage ! Compris ?
Pour toute réponse, je fis un petit aboiement. Il était inutile que j’essaye de négocier. Je n’avais nullement envie de dormir dans le garage. L’humiliation aurait été complète. Ma maîtresse se coucha, et le gode n’était pas là pour faire décoration. J’entendis dans le noir de la nuit ses gémissements que je connaissais tant. L’envie de me masturber était si grande. Mais la voix de ma maîtresse arrêta net mes intentions. - Si je vois une seule trace de sperme, c’est cinquante coups de cravache, alors maintenant couché ! Vu la douleur des quelques coups que j’avais reçu dans la journée, je n’osai imaginer cinquante coup de cravache sur mes fesses. Je me roulais en boule, essayant de trouver la meilleurs position pour dormir. Pour oublier un peu mon érection je me mis à penser à nos vacances, mon boulot, bref à tous ce qui pouvait m’éloigner cérébralement de ma situation. Mais les gémissements de ma maîtresse ne m’aidèrent pas à trouver le sommeil. La nuit ne fut pas la plus confortable que j’ai passé. Je me réveillais toutes les heures, sous la douleur soit du dos, soit des épaules. Je me retournais à chaque fois, attendant le prochain réveil. Puis le matin est arrivé. Le jour transperçait les volets, et les douleurs de mon corps m’empêchaient de me recaler pour retrouver le sommeil. De temps en temps je risquais de lever un œil vers le radio réveil. Je pouvais voir ma maîtresse enroulée dans la couette, baignant dans la chaleur, dormir d’un souffle tranquille. Néanmoins, vers 9 heures, je me risquais à me présenter au bord du lit. Je commençais alors à aboyer doucement.
En insistant un peu, ma maîtresse se réveilla doucement. Je posai alors les deux pattes sur le bord du matelas. Puis, quelle ne fut pas ma joie quand ma maîtresse tapota doucement à coté d’elle. - Allez viens mon Clochard…. Tu as le droit exceptionnellement ! Je ne me fis pas prier. Je sautais sur le lit, et comme mon chien me l’avait fait si souvent, je me précipitais sur elle, et donna de grand coups de langues sur le visage de ma maîtresse. - Pouah, hurla t-elle… Pas la figure, c’est dégueulasse ! Clochard, arrête ! Elle me tendit la main, alors pour ne pas interrompre ce grand moment, je me mis à lécher sa petite main, comme un chien trop content de retrouver sa maîtresse. Puis le jeu se termina. Elle me renvoya à mon tapis, se leva puis rejoignit la cuisine. Je la suivis en bon toutou. Elle prépara son petit déjeuner, sortant du congélateur plusieurs croissants. L’odeur du café arrivait à mes narines. Je me demandais si j’allais avoir un bol de café. Puis je me dis l’instant d’après qu’on avait jamais vu un chien boire du café. Elle se prépara un petit plateau, puis gagna le salon, moi toujours derrière elle. Je lui fis face en me mettant en position assise, une patte levée. Ma maîtresse déjeuna, puis de temps en temps brisa un petit morceau de croissant qu’elle posa par terre devant mes pattes. J’avais trop faim, je mangeais. Quand elle eu terminée, elle mit son bol dans le lave vaisselle, me servit une gamelle d’eau fraîche, puis dans mon autre gamelle mit quelques gâteaux sec qu’elle coupa en morceaux. Je déjeuna. Ma maîtresse prit sa douche tandis que j’avais regagné mon tapis. Une demi heure plus tard, je l’entendis sortir de la salle de bains. - Clochard, viens vite mon pépère ! J’allais la voir. Quand j’arriva dans la salle de bains, je vis la baignoire à moitié rempli, débordant de mousse. - Allez Clochard, ça te fera du bien. Comme je pus je rentra dans l’eau, restant bien à quatre pattes. Ma maîtresse commença alors à me nettoyer avec une éponge, frottant vigoureusement. J’avoue que c’était le meilleur moment de ma vie de chien. Elle me lavait partout.
Quand je fus propre elle vida l’eau, puis me rinça au jet. Elle me frotta ensuite avec une serviette qui sentait bon la lavande. J’étais un chien heureux. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Vers 10h30, je vis soudain ma maîtresse prendre ma couverture et gagner le garage. Je la suivis alors, quelque peu surpris. Elle installait mon tapis aux pieds de l’établi. Je restais assis à la porte de la cuisine, commençant à me dire que les heures suivantes allaient être moins drôle que le bains. Puis elle m’appela. Je restai à la porte, bien assis. Si j’avais pu baisser les oreilles je ne me serais pas priver. Mon regard devait être triste. Sans rien dire elle se leva, passa devant moi puis revint quelque minutes plus tard la cravache à la main. Avant même qu’elle n’arrive à ma hauteur, je partis timidement vers ma couverture, la tête basse. Elle n’eut aucun mal à me rattraper. Deux coups de cravache me tombèrent sur les fesses. - Dis donc Clochard, qu’est-ce que ça veut dire ces manières ? Quand je dis quelque chose tu obéis ! Je roula en boule sur mon tapis, baissa les yeux, puis couina légèrement. - Je vais au marché, j’en aurais pas pour longtemps.. Allez assis, donne ton cou ! Je me relevais. Ma maîtresse m’enleva mon collier, puis passa une chaîne autour de mon cou. Elle referma avec un cadenas. L’autre extrémité de la chaîne était attaché au pied de l’établi. Elle me caressa la tête, puis parti vers la cuisine. La porte se referma. J’ai dû rester dans le garage au moins deux bonnes heures.
Pour combler mon ennui, j’imaginais tous les travaux que pourrai faire dans ce garage. Puis je pensais à ma semaine de boulot, à mes rendez-vous. J’essayais d’occuper le temps comme je pouvais. Ma maîtresse est rentrée vers 13h30. Quand elle passa me voir, j’étais trop content de la retrouver. Je n’avais pas besoin de mimer la fête. C’était réelle. Elle s’approcha de moi. Je me précipitai sur ses jolies bottes que je m’empressais de lécher. Elle me flatta la croupe, me caressa le dos. Après quelques minutes, sous mon regard interrogateur, elle me laissa puis regagnât la cuisine. J’allais donc encore resté là, nu et à quatre pattes dans mon garage enchaîné à mon établi. Je restais assis, fixant mon regard sur la porte, les oreilles attentives au moindre bruit. Mais rien. Je me sentais alors comme un vrai chien, attendant, espérant à chaque instant que la porte s’ouvre. Ce n’est que vers trois heures que je vis ma maîtresse réapparaître enfin. Nouvelle joie. Nouveau sourire. Elle m’enleva enfin la chaîne, remit mon collier avec la laisse. Elle me promena de nouveau dans la maison. Quand je rentra à l’intérieur une odeur de cuisine arriva immédiatement à ma truffe, rappelant la faim à mon estomac.
Cela sentait bon la viande. En passant devant ma gamelle, je tirais un peu sur ma laisse pour aller boire. Ma maîtresse me laissa faire. Puis pour bien faire voir que j’avais faim, je léchais ensuite la gamelle vide. - Après Clochard ! Si tu obéis bien, j’ai une surprise pour toi ! On repartait en promenade dans la maison. Tandis que je marchais aux pieds, je me demandais ce qui pouvait encore me surprendre. Plusieurs fois ma maîtresse me fit couché, puis asseoir. Malgré la fatigue générale qui commençait à me tomber dessus, je redoublais mes efforts. Encore quelques trois heures à tenir, me répétais-je pour oublier mes genoux qui me faisait souffrir de plus en plus. Mais ma maîtresse s’aperçut que je n’étais pas aussi frais que la veille. Alors elle réduisit le parcours.
-
Allez Clochard, encore un petit effort ! Assis… On était dans la salle de bains. Je me suis assis, puis ma maîtresse a pointé son index devant mon museau.
-
Pas bouger Clochard ! Tu restes là.
Comme seule réponse que je pouvais lui donner, je me mis à lui lécher son doigt. Elle se mit à rire. Puis elle partit rejoindre la cuisine. J’ai du rester assis cinq bonnes minutes. Puis elle m’appela. - Viens aux pieds Clochard ! Je partis la rejoindre dans la cuisine. - Assis me dit-elle dès mon arrivée. Assis et donne la patte ! Je m’exécutais. Puis elle se retourna tenant à la main un os de gigot. Elle me le glissa entre les dents et me pria d’aller le ronger sur mon tapis, pour ne pas salir la maison. Je comprenais mieux cette odeur de viande dans la cuisine. - C’est dimanche, t’as bien le droit à ton os ! me dit-elle avec un sourire. Je repartais sur mon tapis, l’os dans la gueule. Comme ma maîtresse était gentille, elle avait laissé beaucoup de viande sur l’os. Le plus dur n’était pas de sucer l’os, mais de ne pas me servir de mes doigts. Comme ma maîtresse n’était pas folle, elle s’est mise à l’ordinateur à quelques mètres de mon tapis. Et de temps en temps elle jetait un coup d’œil. La seule chose que je pouvais faire était de poser la patte sur l’os pour le maintenir. Quand mon repas fut terminé, elle m’ordonna de venir me coucher à ses pieds sous le bureau. Elle s’écarta pour me laisser passer, puis ensuite se remit en place, posant ses pieds nus sur mon ventre. Elle me caressait, puis un pied est venu jouer avec mon museau. Je me suis mis à lécher son pieds, le dessus, le dessous, puis comme un bon chien qui joue avec sa maîtresse, j’ai commencé à mordiller ses petits doigts.
Je les prenais entre les dents, puis les suçais, les léchais. Je suis resté une bonne heure ainsi, à jouer avec ses pieds. Il devait être à peu près six heures quand ma maîtresse s’est levée. Elle a mis son manteau. Je l’ai accompagné à la porte, puis me suis assis. J’ai levé la patte. Elle m’a alors caressé la tête. - Au revoir mon Clochard, à bientôt, j’espère ! Puis sur un immense sourire elle est sortit. Le jeu était fini. Je suis allé me vautrer sur le canapé. Mais chose curieuse, j’y suis allé à quatre pattes. Je me suis servi un petit whisky, et repensant à tous ce week end, je me suis masturbé. J’ai ensuite pris une longue douche et j’ai rejoins le salon avec ma sortie de bains. Sophie est rentrée à ce moment là. Elle est venue dans mes bras me faire un gros bisous.
- Bonjour mon chéri, t’as passé un bon samedi ?
Je n’eus pas le temps de répondre que déjà elle retirait mon peignoir. J’étais de nouveau nu, mais cette fois elle m’attira vers notre chambre.
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